jeudi 5 février 2015

La lutte contre la pauvreté


            A l’aube du prochain millénaire l’humanité s’est engagée dans une grande bataille dont l’objectif est éradication de toute forme de pauvretés dans le monde. Mais face à l’ampleur du phénomène, les taches s’annoncent ardue. Ainsi, le rapport mondial sur le développement humain publié en 1997 par le programme des nations unies pour le développement (PNUD), a tiré la sonnette d’alarme en déclarant que la pauvreté extrême touche plus d’un milliard d’individus dans le monde qui survivent d’un dollars par jour.
Aujourd’hui ce fléau a tendance à s’étendre et à s’installer dans plusieurs régions de la planète comme l’Afrique subsaharienne,    l’Asie   du   Sud,  l’Amérique  latine  et   les ex-républiques soviétiques. Face à cette situation qu’on peut qualifier de tragédie du XX° siècle, on est en droit de se demander sur les actions et les moyens qui permettront de lutter contre la pauvreté.

La lutte contre la pauvreté reste jusqu’à nos jours un défi majeur ce à l’échelle planétaire. Si les solutions préconisées ne manquent pas de réalisme et d’esprit, il n’en demeure pas moins solutions n’ont pas franchies le seuil de la théorie. Il est temps de mettre en pratique une croissance économique diversifiée et largement reparti, d’accentuer la valorisation du capital humain des pauvres et surtout une mobilisation sérieuse et générale de la part de la communauté internationale. Lutter contre la pauvreté c’est tout d’abord rechercher une croissance économique diversifiée et largement repartie qui se traduit essentiellement par la mise en place du cadre nécessaire à cette croissance sans occulter d’accroître leur productivité et d’éliminer toutes discriminations à leur égard.

En effet, la croissance de la main d’œuvre est l’un des facteurs essentiel qui peut faire accroître les possibilités d’emploi, en ayant le travail adéquat, la pauvreté sera largement atténuée.
Pour plusieurs pays qui se trouvent dans l’obligation de rayer les retombées négatives de leur économie sur la population déshéritée, ils doivent appliquer des reformes économiques, en relevant la productivité agricole, car cette dernière reste toujours le secteur privilégie des pays pauvres, ensuite, en soutenant l’éducation afin de permettre à l’ensemble de la population  de participer à la croissance et d’occuper un rang important dans la société, sans oublier d’améliorer les activités en matière de santé et de nutrition. Mais ceci ne sera possible que par la réalisation des études sur la pauvreté, la diffusion entre pays des bases de données d’expérience afin de les aider à accroître leurs moyens utilisés.
Pour les pays ou la pauvreté est fortement concentrée dans certaines régions, il faut cibler leurs ressources sur un certain nombre de projet en vue d’encourager la croissance. Par exemple l’un des programmes de développement rural que soutient la banque mondiale inclut 23 projet différents, représentant au total 3,3 milliards de dollars dans le nord est du brésil, ou vivent plus de la moitié des brésiliens pauvres les projets réalisés dans les provinces du nord, du nord-ouest de la chine sont d’autre exemple de la façon de maîtriser les poches de grande pauvreté. En définitive, les activités économiques jouent un rôle prépondérant dans la lutte contre la pauvreté, néanmoins on doit veiller à faire participer cette frange de la population activement dans l’exécution des projets.
Ainsi, en assurant l’accès des pauvres aux différents paramètres de la croissance, par le baies des crédits et de la terre, cette relance sera vivement assurée. Il faut savoir qu’en accordant des petit crédits, aux entrepreneurs pauvres ils pourront faire surface et suivre la croissance. Bref, en aidant des petites entreprises solvables, par des micros crédits, crées par des petits exportateurs, pêcheurs, artisans, homme ou femme la productivité des pauvres sera accrue.
En fin, l’investissement consacré à l’enseignement primaire, à la santé de base, à la vulgarisation agricole, la formation et à la gestion contribueront de façon décisive à l’amélioration de la situation des pauvres. Ils auront ainsi pour objectifs l’accroissement de la productivité dans les petites entreprises, ces dernières devront en plus être d’une manière ou d’une autre protégée contre toute ingérence ou concurrence supérieur à leur productivité.
L’activité des pauvres dans le secteur économique doit être assurée pour faire en sorte que le ma  roché fonctionne optimale ment pour les petites entreprises .ainsi, il apparaît évident d’engager les gouvernements pour éliminer les réglementions inutiles et lourdes qui subordonnent par exemple la création des petites entreprises à l’octroi de licence ou au paiement des taxes initiales.
Les investissements doivent augmenter aussi dans l’infrastructure essentielle comme les routes rurales, de façon à ce que les agriculteurs pauvres puissent  avoir accès aux marchés et obtenir des biens et des services indispensables. Ensuite ouvrir les zones reculées ou vivent de petits exploitants agricoles afin de réduire le coût des déplacements jusqu’au marché afin d’accroître les revenues et possibilités d’emploi des agriculteurs.
La remise en état du transport va assurer les déplacements centre région ce qui augmentera les échanges et le commerce entre les différents entrepreneurs et commerçants sans oublier qu’il faut participer pour éliminer la discrimination des pauvres. Car ces pratiques empêchent souvent les pauvres de recueillir  les biens de la croissance économique. Donc, il est essentiel de renforcer les appuis dans ce domaine difficile en particulier en portant une assistance aux femmes et aux groupes autochtones. Dans le cas des femmes, il serait souhaitable de soutenir leur accès à la terre et aux titre de propriété, aux soins infantiles à l’éducation du territoire pour mettre à égalité les femmes et les hommes, enfin assurer des programmes de formation ne favorisant pas un sexe au détriment de l’autre. (la politique de la partie).
En définitive avoir un emploi pour parait un paramètre essentiel pour lutter contre la pauvreté et relancer l’économie de n’importe quel pays et de donner aux pauvres l’opportunité de mettre en exergue leur savoir faire mais avant tout ne faut il pas penser aux potentialités de ce pauvre ? ne faut-il pas penser à son savoir et son environnement ?
Il est maintenant amplement établi que valoriser le capital humain des pauvres est un moyen décisif de lutter contre la pauvreté en lui assurant une bonne santé, une instruction adéquate et de lui donner les moyens nécessaires pour améliorer son rendement au sein de la société sans omettre la protection des groupes vulnérables par le filet de sécurité.
En effet, l’enseignement fondamentale est un élément essentiel de la valorisation du capital humain des pauvres, et trois domaines occupent une place primordial dans les efforts menés pour aidés les enfants des pauvres à savoir : le développement de l’enfant sont déjà fixées quand il atteint l’âge de quatre à cinq ans. Ainsi les interventions cohérentes visant à améliorer sa santé et son état nutritionnel peuvent avoir un effet bénéfique durable.
Pour l’enseignement primaire : atteindre un niveau d’éducation de base est une condition sine qua non de réduction de pauvreté tant pour un individu que pour un pays . si de nombreuses études ont établi la forte corrélation entre le niveau d’éducation et le revenu individuel les faits s’efforcent de montrer les biens entre éducation et croissance économique d’un pays.
Ainsi éduquer les enfants des pauvres c’est augmenter leur chances d’échapper à la pauvreté. Mais il faut aussi insister sur la qualité de l’enseignement sans chercher à favoriser le sexe masculin et occupe la sexe féminin dans la croissance économique. Pour ce qu’est de l’éducation des filles, c’est un catalyseur du développement dans toutes ses dimensions. Baisse des taux de fécondité, hausse de la productivité et meilleur gestion de l’environnement. En fait l’éducation des femmes à un influence énorme sur leur bien être et leur productivité comme ceux de leur famille. Ainsi par exemple augmenter de 10 % l’alphabétisation féminine réduisait de 10% la mortalité infantile. Le projet de l’éducation de la femme recèle un vaste potentiel alors qu’il s’avère nécessaire de modifier les priorités et mobiliser des ressources additionnelles afin d’atteindre ce but. D’autre part l’amélioration de la santé maternelle et infantile et l’état nutritionnel, va assurer un milieu convenable pour l’enfant et protéger les capacités physiques et intellectuelles d’une façon générale, c’est pour cela que la santé et la nutrition sont fréquemment incluses dans des opérations menées dans autre secteurs comme l’agriculture, la sécurité alimentaire, l’éducation les projets industriels.
En fin, il faut mettre à jour des travaux d’analyse nécessaires à la mise en place des filets de sécurité pour protéger les malades les personnes agrées, les handicapés. C’est  pour cela que le filet social doit occuper un espace important des aides fournies pour lutter contre la pauvreté. Cet aide peut se traduire sous deux formes tout d’abord une allocation forfaitaire de solidarité versée aux personnes sans revenue et sans possibilité d’activité, ensuite dans une activité l’intérêt général versée à des personnes au sein de programmes de soutiens.
Tout effort au niveau local s’avère insuffisant et loin d’atteindre l’objectif optimale sans une mobilisation générale et efficace de la part de la communié internationale.
L’apport de la communauté internationale, pour tendre vers l’efficacité doit conjuguer une coopération étroite des organisations internationales avec le reversement de l’aide mais surtout la résolution des problèmes de surendettement des pauvres sans laquelle toute stratégie vouée à l’échec.  En effet, le rôle de L ONU est sollicité pour apporter une solution efficace au problème  Par ses institutions rattachées à caractère humanitaire et économique elle paracheva l’œuvre déclenché par les Etat concernés Si le FAO  se propose d’améliorer les rendements agricoles et le niveau de vie néanmoins ses actions demeurent insuffisantes et loin de courir toutes les populations de munies du monde Ceci est bien évident dans la mesure ou l’organisation à laquelle il appartient n’est pas pour autant à la taille de ses aspirations.
Il est autant nécessaire de stimuler les acteurs internationaux en l’occurrence les pays roches à apporter un soutien substantiel à cette organisation en vue de lui permettre d’aboutir à l’objectif qu’elle s’est fixée.
Il y a lieu aussi de citer les autres institutions notamment l’UNISCO qui tend à resserrer la collaboration entre les peuples pour lutter contre l’analphabétisme, la diffusion de l’enseignement et la vulgarisation des progrès techniques. UNICEF quand à elle cherche à apporter une assistance aux enfants des   pays de munis dont l’objectif d’éradiquer la malnutrition à ses origines, toutefois leur action demeure similaire à celle suscitée.
Quant au FMI qui déploie des aides sous forme d’appui pour le développement (APD), doit revoir et sa manière d’octroi et le volume de ces aides. Ainsi les pays développes souce d’approvisionnement de cet organe doivent passer d’un taux de participation qui demeure jusqu’à maintenant insignifiant à un autre efficace pour permettre au FMI de changer sa politique et d’atteindre l’objectif escompté.
L’APD ainsi valorisée par le FMI ne doit pas être uniquement sous forme d’aide monétaire mais sous forme d’investissement et de transfert de technologie. Les investissements ne viseront pas seulement le bénéfice mais à accroître les occasions d’emploi ce qui permettra de rechausser le revenu des pauvres et de permettre leur qualification. Le transfert des technologies, visera de sa part à accroître les capacités des individus et des collectivités au sein des pays pauvres pour leur permettre de parachever leur marche vers la croissance.  Il va sans dire que les pays pauvres sont les plus endettés, ceci constitue un fardeau qui entrave leur marche vers la croissance et tue par ailleurs toute tentative de lutte contre la pauvreté . En effet, les pays pauvres consacrent une grande partie de leurs revenus « plus de 30% » pour régler les échéances de la dette qui ne fait qu’augmenter au fur et à mesure. La politique de rééchelonnement n’est en aucun cas la solution efficace, toutefois un sacrifice de la part des créditeurs de transformer la dette en investissement semble de lieux à adopter. Si quelques initiatives dans ce sensé sont déjà entreprises, le cadre dans le quel elles ont été exécuté ne vise pas uniquement la lutte inconditionnée de la pauvreté,  mais in consiste  à apporter la solution qui protège les intérêts.
En somme sans une volonté solide d’atténuer sérieusement la dette, le problème de la pauvreté ne sera que s’aggraver.

Lutter contre la pauvreté est un soucie de tout esprit éveillé, cet objectif ne peut être atteint que par la mise en pratique d’une stratégie solide basée sur une recherche de croissance économique, le renforcement du potentiel humain et une coopération étroite des acteurs internationaux. Si les 20% uniquement détiennent 80% des richesses de la planète, il est temps de penser à la vulgarisation de ces richesse pour éviter une apothéose qui semble imminente.


1 commentaire:

  1. JE SUIS MAINTENANT REMPLIR FINANCIÈREMENT EN RAISON DU PRÊT QUE J'AI OBTENU DE LFDS. Je voudrais porter cela à l'attention du public sur la façon dont je suis entré en contact avec LFDS après avoir perdu mon emploi et se voir refuser un prêt par ma banque et d'autres services financiers institution en raison de mon pointage de crédit. Je n'ai pas pu payer les frais de mes enfants. J'étais en retard sur les factures, sur le point d'être jeté hors de la maison en raison de mon incapacité à payer mon loyer. C'est pendant cette période que mes enfants m'ont été enlevés par une famille d'accueil. Ensuite, je me suis mis à chercher des fonds en ligne où j'ai perdu 3 670 $ que j'ai empruntés à des amis que j'ai été arnaqués par deux sociétés de prêt en ligne. Jusqu'à ce que je lise: Le_Meridian Funding Service (lfdsloans@outlook.com / lfdsloans@lemeridianfds.com) quelque part sur Internet, je n'ai toujours pas été convaincu à cause de ce que j'ai vécu jusqu'à ce qu'un de mes proches qui est membre du clergé me dise aussi sur le programme de prêt en cours de LFDS à un taux d'intérêt très bas de 1,9 %% et de belles conditions de remboursement sans pénalité pour défaut de paiement. Je n'ai pas d'autre choix que de les contacter également, ce que j'ai fait par SMS + 1-989-394-3740 et M. Benjamin m'a répondu Ce jour était le meilleur et le plus grand jour de ma vie que je ne pourrai jamais oublier quand je recevez une alerte de crédit de 400 000 $. J'ai utilisé le prêt efficacement pour rembourser mes dettes et démarrer une entreprise et aujourd'hui, mes enfants et moi sommes si heureux et satisfaits. Vous pouvez également les contacter par e-mail: (lfdsloans@outlook.com / lfdsloans@lemeridianfds.com) Assistance téléphonique WhatsApptext: + 1-989-394-3740 Pourquoi est-ce que je fais cela? Je fais cela pour sauver autant de personnes qui ont besoin d'un prêt pour ne pas être victime d'escroqueries sur Internet. Merci et que Dieu vous bénisse tous, je suis Oleksander Artem d'Horizon Park BC, en Ukraine.

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