A
l’aube du prochain millénaire l’humanité s’est engagée dans une grande bataille
dont l’objectif est éradication de toute forme de pauvretés dans le monde. Mais
face à l’ampleur du phénomène, les taches s’annoncent ardue. Ainsi, le rapport
mondial sur le développement humain publié en 1997 par le programme des nations
unies pour le développement (PNUD), a tiré la sonnette d’alarme en déclarant
que la pauvreté extrême touche plus d’un milliard d’individus dans le monde qui
survivent d’un dollars par jour.
Aujourd’hui ce fléau a tendance à s’étendre et à
s’installer dans plusieurs régions de la planète comme l’Afrique
subsaharienne, l’Asie du Sud,
l’Amérique latine et les ex-républiques soviétiques.
Face à cette situation qu’on peut qualifier de tragédie du XX° siècle, on est
en droit de se demander sur les actions et les moyens qui permettront de lutter
contre la pauvreté.
La lutte contre la
pauvreté reste jusqu’à nos jours un défi majeur ce à l’échelle planétaire. Si
les solutions préconisées ne manquent pas de réalisme et d’esprit, il n’en
demeure pas moins solutions n’ont pas franchies le seuil de la théorie.
Il est temps de mettre en pratique une croissance économique diversifiée et
largement reparti, d’accentuer la valorisation du capital humain des pauvres et
surtout une mobilisation sérieuse et générale de la part de la communauté
internationale. Lutter contre la pauvreté c’est tout d’abord
rechercher une croissance économique diversifiée et largement repartie qui se
traduit essentiellement par la mise en place du cadre nécessaire à cette
croissance sans occulter d’accroître leur productivité et d’éliminer toutes
discriminations à leur égard.
En effet, la croissance de la main
d’œuvre est l’un des facteurs essentiel qui peut faire accroître les
possibilités d’emploi, en ayant le travail adéquat, la pauvreté sera largement
atténuée.
Pour plusieurs pays qui se trouvent dans l’obligation
de rayer les retombées négatives de leur économie sur la population déshéritée,
ils doivent appliquer des reformes économiques, en relevant la productivité
agricole, car cette dernière reste toujours le secteur privilégie des pays
pauvres, ensuite, en soutenant l’éducation afin de permettre à l’ensemble de la
population de participer à la croissance et d’occuper un rang important
dans la société, sans oublier d’améliorer les activités en matière de santé et
de nutrition. Mais ceci ne sera possible que par la réalisation des études sur
la pauvreté, la diffusion entre pays des bases de données d’expérience afin de
les aider à accroître leurs moyens utilisés.
Pour les pays ou la
pauvreté est fortement concentrée dans certaines régions, il faut cibler leurs
ressources sur un certain nombre de projet en vue d’encourager la croissance.
Par exemple l’un des programmes de développement rural que soutient la banque
mondiale inclut 23 projet différents, représentant au total 3,3 milliards de
dollars dans le nord est du brésil, ou vivent plus de la moitié des brésiliens
pauvres les projets réalisés dans les provinces du nord, du nord-ouest de la
chine sont d’autre exemple de la façon de maîtriser les poches de grande
pauvreté. En définitive, les activités économiques jouent un rôle prépondérant
dans la lutte contre la pauvreté, néanmoins on doit veiller à faire participer
cette frange de la population activement dans l’exécution des projets.
Ainsi, en assurant
l’accès des pauvres aux différents paramètres de la croissance, par le baies des
crédits et de la terre, cette relance sera vivement assurée. Il faut savoir
qu’en accordant des petit crédits, aux entrepreneurs pauvres ils pourront faire
surface et suivre la croissance. Bref, en aidant des petites entreprises
solvables, par des micros crédits, crées par des petits exportateurs, pêcheurs,
artisans, homme ou femme la productivité des pauvres sera accrue.
En fin,
l’investissement consacré à l’enseignement primaire, à la santé de base, à la
vulgarisation agricole, la formation et à la gestion contribueront de façon
décisive à l’amélioration de la situation des pauvres. Ils auront ainsi pour
objectifs l’accroissement de la productivité dans les petites entreprises, ces
dernières devront en plus être d’une manière ou d’une autre protégée contre
toute ingérence ou concurrence supérieur à leur productivité.
L’activité des pauvres
dans le secteur économique doit être assurée pour faire en sorte que le
ma roché fonctionne optimale ment pour les petites entreprises .ainsi, il
apparaît évident d’engager les gouvernements pour éliminer les réglementions
inutiles et lourdes qui subordonnent par exemple la création des petites
entreprises à l’octroi de licence ou au paiement des taxes initiales.
Les investissements
doivent augmenter aussi dans l’infrastructure essentielle comme les routes
rurales, de façon à ce que les agriculteurs pauvres puissent avoir accès
aux marchés et obtenir des biens et des services indispensables. Ensuite ouvrir
les zones reculées ou vivent de petits exploitants agricoles afin de réduire le
coût des déplacements jusqu’au marché afin d’accroître les revenues et
possibilités d’emploi des agriculteurs.
La remise en état du
transport va assurer les déplacements centre région ce qui augmentera les
échanges et le commerce entre les différents entrepreneurs et commerçants sans
oublier qu’il faut participer pour éliminer la discrimination des pauvres. Car
ces pratiques empêchent souvent les pauvres de recueillir les biens de la
croissance économique. Donc, il est essentiel de renforcer les appuis dans ce
domaine difficile en particulier en portant une assistance aux femmes et aux
groupes autochtones. Dans le cas des femmes, il serait souhaitable de soutenir
leur accès à la terre et aux titre de propriété, aux soins infantiles à l’éducation
du territoire pour mettre à égalité les femmes et les hommes, enfin assurer des
programmes de formation ne favorisant pas un sexe au détriment de l’autre. (la
politique de la partie).
En définitive avoir un
emploi pour parait un paramètre essentiel pour lutter contre la pauvreté et
relancer l’économie de n’importe quel pays et de donner aux pauvres
l’opportunité de mettre en exergue leur savoir faire mais avant tout ne faut il
pas penser aux potentialités de ce pauvre ? ne faut-il pas penser à son
savoir et son environnement ?
Il est maintenant amplement établi
que valoriser le capital humain des pauvres est un moyen décisif de lutter
contre la pauvreté en lui assurant une bonne santé, une instruction adéquate et
de lui donner les moyens nécessaires pour améliorer son rendement au sein de la
société sans omettre la protection des groupes vulnérables par le filet de
sécurité.
En effet,
l’enseignement fondamentale est un élément essentiel de la valorisation du
capital humain des pauvres, et trois domaines occupent une place primordial
dans les efforts menés pour aidés les enfants des pauvres à savoir : le
développement de l’enfant sont déjà fixées quand il atteint l’âge de quatre à
cinq ans. Ainsi les interventions cohérentes visant à améliorer sa santé et son
état nutritionnel peuvent avoir un effet bénéfique durable.
Pour l’enseignement
primaire : atteindre un niveau d’éducation de base est une condition sine
qua non de réduction de pauvreté tant pour un individu que pour un pays . si de
nombreuses études ont établi la forte corrélation entre le niveau d’éducation
et le revenu individuel les faits s’efforcent de montrer les biens entre
éducation et croissance économique d’un pays.
Ainsi éduquer les enfants des pauvres
c’est augmenter leur chances d’échapper à la pauvreté. Mais il faut aussi
insister sur la qualité de l’enseignement sans chercher à favoriser le sexe
masculin et occupe la sexe féminin dans la croissance économique. Pour ce
qu’est de l’éducation des filles, c’est un catalyseur du développement dans
toutes ses dimensions. Baisse des taux de fécondité, hausse de la productivité
et meilleur gestion de l’environnement. En fait l’éducation des femmes à un
influence énorme sur leur bien être et leur productivité comme ceux de leur
famille. Ainsi par exemple augmenter de 10 % l’alphabétisation féminine
réduisait de 10% la mortalité infantile. Le projet de l’éducation de la femme
recèle un vaste potentiel alors qu’il s’avère nécessaire de modifier les priorités
et mobiliser des ressources additionnelles afin d’atteindre ce but. D’autre
part l’amélioration de la santé maternelle et infantile et l’état nutritionnel,
va assurer un milieu convenable pour l’enfant et protéger les capacités
physiques et intellectuelles d’une façon générale, c’est pour cela que la santé
et la nutrition sont fréquemment incluses dans des opérations menées dans autre
secteurs comme l’agriculture, la sécurité alimentaire, l’éducation les projets
industriels.
En fin, il faut mettre
à jour des travaux d’analyse nécessaires à la mise en place des filets de
sécurité pour protéger les malades les personnes agrées, les handicapés. C’est pour
cela que le filet social doit occuper un espace important des aides fournies
pour lutter contre la pauvreté. Cet aide peut se traduire sous deux formes tout
d’abord une allocation forfaitaire de solidarité versée aux personnes sans
revenue et sans possibilité d’activité, ensuite dans une activité l’intérêt
général versée à des personnes au sein de programmes de soutiens.
Tout effort au niveau local s’avère
insuffisant et loin d’atteindre l’objectif optimale sans une mobilisation
générale et efficace de la part de la communié internationale.
L’apport de la
communauté internationale, pour tendre vers l’efficacité doit conjuguer une
coopération étroite des organisations internationales avec le reversement de
l’aide mais surtout la résolution des problèmes de surendettement des pauvres
sans laquelle toute stratégie vouée à l’échec. En effet, le rôle de L ONU
est sollicité pour apporter une solution efficace au problème Par ses
institutions rattachées à caractère humanitaire et économique elle paracheva
l’œuvre déclenché par les Etat concernés Si le FAO se propose d’améliorer
les rendements agricoles et le niveau de vie néanmoins ses actions demeurent
insuffisantes et loin de courir toutes les populations de munies du monde Ceci
est bien évident dans la mesure ou l’organisation à laquelle il appartient
n’est pas pour autant à la taille de ses aspirations.
Il est autant
nécessaire de stimuler les acteurs internationaux en l’occurrence les pays
roches à apporter un soutien substantiel à cette organisation en vue de lui
permettre d’aboutir à l’objectif qu’elle s’est fixée.
Il y a lieu aussi de
citer les autres institutions notamment l’UNISCO qui tend à resserrer la
collaboration entre les peuples pour lutter contre l’analphabétisme, la
diffusion de l’enseignement et la vulgarisation des progrès techniques. UNICEF
quand à elle cherche à apporter une assistance aux enfants des pays
de munis dont l’objectif d’éradiquer la malnutrition à ses origines, toutefois
leur action demeure similaire à celle suscitée.
Quant au FMI qui
déploie des aides sous forme d’appui pour le développement (APD), doit revoir
et sa manière d’octroi et le volume de ces aides. Ainsi les pays développes
souce d’approvisionnement de cet organe doivent passer d’un taux de
participation qui demeure jusqu’à maintenant insignifiant à un autre efficace
pour permettre au FMI de changer sa politique et d’atteindre l’objectif
escompté.
L’APD ainsi valorisée
par le FMI ne doit pas être uniquement sous forme d’aide monétaire mais sous
forme d’investissement et de transfert de technologie. Les investissements ne
viseront pas seulement le bénéfice mais à accroître les occasions d’emploi ce
qui permettra de rechausser le revenu des pauvres et de permettre leur
qualification. Le transfert des technologies, visera de sa part à accroître les
capacités des individus et des collectivités au sein des pays pauvres pour leur
permettre de parachever leur marche vers la croissance. Il va sans
dire que les pays pauvres sont les plus endettés, ceci constitue un fardeau qui
entrave leur marche vers la croissance et tue par ailleurs toute tentative de
lutte contre la pauvreté . En effet, les pays pauvres consacrent une grande
partie de leurs revenus « plus de 30% » pour régler les échéances de
la dette qui ne fait qu’augmenter au fur et à mesure. La politique de
rééchelonnement n’est en aucun cas la solution efficace, toutefois un sacrifice
de la part des créditeurs de transformer la dette en investissement semble de
lieux à adopter. Si quelques initiatives dans ce sensé sont déjà entreprises,
le cadre dans le quel elles ont été exécuté ne vise pas uniquement la lutte
inconditionnée de la pauvreté, mais in consiste à apporter la
solution qui protège les intérêts.
En somme sans une
volonté solide d’atténuer sérieusement la dette, le problème de la pauvreté ne
sera que s’aggraver.
Lutter contre la
pauvreté est un soucie de tout esprit éveillé, cet objectif ne peut être
atteint que par la mise en pratique d’une stratégie solide basée sur une
recherche de croissance économique, le renforcement du potentiel humain et une
coopération étroite des acteurs internationaux. Si les 20% uniquement
détiennent 80% des richesses de la planète, il est temps de penser à la
vulgarisation de ces richesse pour éviter une apothéose qui semble imminente.
JE SUIS MAINTENANT REMPLIR FINANCIÈREMENT EN RAISON DU PRÊT QUE J'AI OBTENU DE LFDS. Je voudrais porter cela à l'attention du public sur la façon dont je suis entré en contact avec LFDS après avoir perdu mon emploi et se voir refuser un prêt par ma banque et d'autres services financiers institution en raison de mon pointage de crédit. Je n'ai pas pu payer les frais de mes enfants. J'étais en retard sur les factures, sur le point d'être jeté hors de la maison en raison de mon incapacité à payer mon loyer. C'est pendant cette période que mes enfants m'ont été enlevés par une famille d'accueil. Ensuite, je me suis mis à chercher des fonds en ligne où j'ai perdu 3 670 $ que j'ai empruntés à des amis que j'ai été arnaqués par deux sociétés de prêt en ligne. Jusqu'à ce que je lise: Le_Meridian Funding Service (lfdsloans@outlook.com / lfdsloans@lemeridianfds.com) quelque part sur Internet, je n'ai toujours pas été convaincu à cause de ce que j'ai vécu jusqu'à ce qu'un de mes proches qui est membre du clergé me dise aussi sur le programme de prêt en cours de LFDS à un taux d'intérêt très bas de 1,9 %% et de belles conditions de remboursement sans pénalité pour défaut de paiement. Je n'ai pas d'autre choix que de les contacter également, ce que j'ai fait par SMS + 1-989-394-3740 et M. Benjamin m'a répondu Ce jour était le meilleur et le plus grand jour de ma vie que je ne pourrai jamais oublier quand je recevez une alerte de crédit de 400 000 $. J'ai utilisé le prêt efficacement pour rembourser mes dettes et démarrer une entreprise et aujourd'hui, mes enfants et moi sommes si heureux et satisfaits. Vous pouvez également les contacter par e-mail: (lfdsloans@outlook.com / lfdsloans@lemeridianfds.com) Assistance téléphonique WhatsApptext: + 1-989-394-3740 Pourquoi est-ce que je fais cela? Je fais cela pour sauver autant de personnes qui ont besoin d'un prêt pour ne pas être victime d'escroqueries sur Internet. Merci et que Dieu vous bénisse tous, je suis Oleksander Artem d'Horizon Park BC, en Ukraine.
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